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Le livre d'or
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| | L'hiver
approche et la
végétation dispensatrice d'ombre pendant
l'été est mal venue quand les jours diminuent. Au
feu ! Dans la joie et la bonne humeur ... mais avec un
soupçon de mauvaise conscience : qu'en pense Dame Nature ?
Dans
les belles volutes se cachent de la vapeur d'eau et du dioxyde de
carbone, éminents gaz dits "à effet de serre"
dont chacun sait bien maintenant que ce sont des gaz voyous. Naturels
et indispensables, mais définitivement catalogués.
De
l'ozone s'envole également vers les espaces
stratosphériques où il manque cruellement mais
qu'il a peu de chance d'atteindre, ayant moultes occasions de
s'éclater auparavant en nuisances multiples.
Et
puis encore des HCFC, ces hydrochloroflurocarbures moins barbares que
les CFC mais encore trop agressifs envers notre couche d'ozone
protectrice sus-citée.
Et puis
encore,
(même si leur petite quantité pourrait faire
oublier que les grands ruisseaux font les petites rivières
:-) : les oxydes de soufre et d'azote, éminents irritants et
acidifiants ; des hydrocarbures plus ou moins stables ; des HAP,
hydrocarbures aromatiques polycycliques très toxiques ; ...
Lu
sur http://www.santepub-mtl.qc.ca/Environnement/chauffage/fiche4.html :
"Parmi
les composés chimiques émis à
l'atmosphère lors de la combustion du bois, on compte 17
contaminants considérés prioritaires par l'Agence
de protection de l'environnement des États-Unis, 14 qui sont
reconnus comme potentiellement cancérigènes ou
mutagènes, 4 sont co-cancérigènes et 6
peuvent avoir des effets négatifs sur le système
respiratoire."
Un beau feu qui fait froid
dans le dos, non ? |
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