La féminisation des noms de profession n’en finit pas de m’étonner. J’ai l’impression de ne jamais pouvoir me faire aux marines, cuistotes, croupières (bien taillées ?) et autres sapeuses-pompières ... Outre le principe qui me fait différencier le métier ou la fonction de celui ou celle qui l’exerce, le fait que le féminin d’un métier soit déjà souvent attribué à la machine correspondante ne m’incite pas à entrer dans le jeu des différences. Cuisinière, colleuse, agrafeuse, élagueuse - pour quelques premières lettres de l’alphabet - font nettement moins sérieux et valorisant que leur équivalent masculin. Non ?