Ma part de parité

La parité, la parité !

Et la diversité !

Et la discrimination positive !

 

Ça commence à me peser grave ces considérations finalement sexistes, racistes et discriminantes !

 

Car quoi ? Quel est le problème ?

 

Un recruteur - un président de la République, par exemple - cherche des personnes compétentes - des ministres, par exemple - pour réaliser un certain travail. Si le meilleur candidat à un poste donné est une femme handicapée issue de l’immigration, c’est la personne qu’il faut recruter.

Point.

 

L’anomalie est que, en recrutant des hommes, français de vieille souche et apparemment non invalides, on ne recrute pas forcément les meilleurs. Foin donc des règles qui mettent en avant les critères de discrimination tout en prétendant les combattre. Que le meilleur gagne ! Tout simplement ...

 

 

Est-ce pour contribuer artificiellement à la parité des gens de lettres de son époque qu’elle a choisi un prénom masculin pour pseudoprényme ? George. Sans "s" - pour l’image immigrationnelle ? La lecture de l’Histoire de ma vie me l’apprendra peut-être. Les premiers tomes m’ont surpris sur deux points. D’abord qu’une femme peut avoir une expression très valorisante de la guerre et de la gloriole guerrière. Ensuite qu’on ait pu être tellement convaincu, à une époque pas si éloignée (1850), de l’évolution positive de l’homme sur le plan de son intelligence, de son organisation, de sa morale. C’était avant Verdun, Auschwitz, Hiroshima et les kamikazes d’Al Qaida ...