Que l’État attribue les mêmes allocations aux « familles » pour l’éducation de leurs enfants, ça doit être ça l’égalité. Quels que soient leurs revenus ou leurs capacités éducatives ? Mais oui !
Que l’État impose les citoyens en fonction (et pas en proportion ! [1]) de la totalité de leurs revenus, y compris donc les allocations ou bien qu’il mette sous tutelle les citoyens déficients dans leur charge d’éducateurs, c’est peut-être ça la fraternité.
Et la liberté dans tout ça ? C’est finalement le volet le plus important dans ce domaine, même si on en parle beaucoup moins que les allocs ou les impôts : elle est ou devrait-être dans le choix de chaque citoyen de pratiquer les mille et une façons d’accompagner ses enfants dans leurs auto-construction de personnes sociables.
Liberté, égalité, fraternité ! [2] C’est fait ! Je me recouche ….