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lundi 31 août 2009

Tréïdeurses

Notre gouvernement, à l’unisson de la plupart des gouvernements des pays "développés", clame sa misère à réglementer les salaires, primes et autres bonus des traders, vous savez, ces golden boys qui jouent à faire gagner des millions à ceux à qui des millions d’entre nous confient leurs petits sous. Ces marchands d’argent - comme il serait possible de les appeler en bon français - sont tellement indispensables aux profits espérés par les banquiers que ces derniers s’attachent les meilleurs à prix d’or, leur octroyant des rémunérations sans commune mesure avec les rémunérations du travail.

À mon humble avis de béotien, nos hommes politiques ont perdu d’avance, le savent bien, et font figure de faux-culs quand ils s’étonnent que les pratiques exorbitantes d’avant la crise se reproduisent alors que la pénurie s’est installée dans le peuple d’en bas. Ils savent bien qu’ils ne peuvent pas se mettre à dos les puissances d’argent alors qu’ils pensent ou font semblant de croire qu’ils en ont eux-mêmes besoin pour la gestion du pays. Ils savent bien aussi que la plus sévère des petites lois qu’ils pourraient élaborer n’est que fétu de paille pour les flots financiers internationaux.

Alors ? Alors, tant que la manipulation de l’argent rapportera des milliers de fois plus que le maniement des outils, les traders se feront des fouilles en or, n’en déplaise aux dépouillés résignés. Non ?

Une brève au hasard :

vendredi 5 janvier 2007

Bonheur

Un rêve ou un fantasme s’évapore aussitôt que réalisé. Pas un idéal, jamais atteint par définition, en construction permanente, et donc toujours présent. On doit zapper d’un rêve ou d’un fantasme à l’autre ; on ne peut pas se mettre en vacance d’un idéal qu’on a choisi pour se réaliser. Lesquels convient-il de cultiver dans le jardin de notre bonheur ?