Des chercheurs ont trouvé que des vers mis au régime vivaient plus longtemps. D’autres ont observé les mêmes effets chez une population d’humains, avec, collatéralement, un accroissement de la mémoire.
Je me réjouis de savoir le "sommet de l’édifice bio" suit encore des lois communes au vivant. Satisfait également de constater que le rationnement global vraisemblablement inévitable se révélera finalement bon pour l’homme. Je suis par contre déçu que des chercheurs ne se soient pas lancés sur la piste de la mémoire développée par le ver affamé, au moment où nous prenons conscience que la création et l’entretien de la mémoire des puces informatiques se révèlent désastreux pour l’environnement ...