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l’entrée sur la toile


Les dernières humeurs

. 18 janvier- Choralines Korholen
. 11 janvier- Barbruel
. 4 janvier- Belle Année !
. 28 décembre- Trans-lucidité
. 21 décembre- C'était Noël
. 14 décembre- C'est du propre
. 7 décembre- Aux armes, Turballais !
. 30 novembre- Renseignements pris
. 23 novembre- Suis-je Paris ?
. 16 novembre- L'air du temps
. 9 novembre- Privilégié
. 2 novembre- Noir et Blanc
. 26 octobre- Migrant
. 19 octobre- Catégories
. 12 octobre- Ça se discute !
. 5 octobre- Mes Lunes à moi
. 28 septembre- Rendez les copies
. 21 septembre- Simplement tordu
. 14 septembre- À usage perso
. 7 septembre- Photœil
. 31 août- Vagabondages
. 24 août- On s'habitue
. 17 août- Parisien !
. 10 août- Îles sœurs
. 3 août- Longueurs du temps
. 27 juillet- Sous contrôle
. 20 juillet- Port cochon
. 13 juillet- Le port
. 6 juillet- Attaque cérébrale
. 29 juin- 150 ans
. 22 juin- Feuilles de liaison
. 15 juin- Quoi d'neuf ?
. 8 juin- Bricolage
. 1er juin- Les petits plus
. 25 mai- Démopublique
. 18 mai- Parano
. 11 mai- Des stats
. 4 mai- Expliquez !
. 27 avril- Convaincre
. 20 avril- L'eus-tu cru ?
. 13 avril- L'esprit libre
. 6 avril- Questions de bac
. 30 mars- Génér'Hic
. 23 mars- Il y aura ...
. 16 mars- Fessée effacée ?
. 9 mars- Fatale méprise
. 2 mars- Humeur de Hummer
. 23 février- Rafale de mots
. 16 février- La machine humaine
. 9 février- Lire et compter
. 2 février- Nonagénaire
. 26 janvier- La coupe était vide

Les temps sont difficiles pour les sites dits "collaboratifs" qui doivent laisser quelques portes ouvertes ou ouvrables pour fonctionner : les petits plaisantins mal intentionnés se font un plaisir de les ouvrir ou de les enfoncer.

Après 15 ans d'usage de cette forme pas vraiment justifiée dans son cas, mamimadi revient à la bonne vieille interface classique.

Bonnes lectures !


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jacky@herigault.fr

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mamimadi
l'humeur hebdomadaire

25 janvier- Intéressant, non ?

    Pas de politique, ça fâche. Mais quand même : le ministre Macron se fait actuellement huer pour avoir dit que "la vie d'un entrepreneur est souvent bien plus dure que celle d'un salarié". Il n'a pas dit que tous les salariés se la coulent douce, ni que les activités de la plupart des entrepreneurs ne sont pas plus valorisantes et/ou mieux rémunérées. A-t-il dit vrai ? Un peu ? Beaucoup ? Pas du tout ? Pour les indignés, le problème n'est pas là ; ça ne se dit pas, point (.) C'est pourtant une petite phrase intéressante. Intéressante par ce qu'elle dit en elle même et qui demande à être vérifié, nuancé, éventuellement contredit. Intéressante par ce qu'elle dit de son auteur qui n'hésite pas à prendre le risque de la critique, de la stigmatisation. Intéressante aussi par toutes les hypothèses qu'elle permet autour du monde politique à tendance politicienne. Le ministre est-il franc du collier ou bien a-t-il des buts non directement avouables, voire des stratégies carriéristes personnelles ? Pour aller encore plus loin, est-il franc-tireur indépendant ou bien joue-t-il le sniper pour son Président ?

Hollande et Macron

    Pas de politique, ça fâche. Mais quand même : un tricard du monde politique, renvoyé depuis dix-huit mois des affaires publiques à ses propres affaires pour quelques affaires présumées sales, vient de s'exposer sur le divan d'un pseudo psychiatre pour tenter ne nous faire comprendre combien l'épreuve l'avait changé. Pauvre vieux ! Il faut beaucoup plus de dix-huit mois pour changer un homme convaincu depuis sa plus tendre enfance qu'il sera président de la République. L'exposé fut pourtant intéressant. Intéressant parce que le combat d'un crabe pour gagner le haut du panier peut remplacer plus humainement les combats de coqs ou les mises à morts des tauromaniaques ; intéressant, plus sérieusement, par ce qu'il dit de cet homme politique-là, de ses ressources, de l'utilisation qu'il en fait pour tenter de s'extirper du trou au fond duquel son propre monde l'a expédié. Irait-il jusqu'à croire en son nouveau personnage pour nous persuader que sa personne a changé ?

Copé qui rit, qui pleure

    La politique ne devrait pas être un spectacle, mais le monde politique est spectaculaire parce que la démocratie veut que pour agir, il faut monter sur scène. Malheureusement, beaucoup n'accèdent à la scène que dans le seul but d'y être, remisant chose publique et volonté du peuple sous les estrades jusqu'à la prochaine remise en scène. À défaut donc d'action politique, le peuple peut se donner l'illusion de se rembourser des émoluments bien gras versés à ces acteurs par défaut en décortiquant, savourant, digérant les petits mots, divans et autres prestations du théâtre médiatique ...

La côte

Ce dimanche soir, un pestacle qui ne fâche jamais, ne coûte rien, simple comme un coucher de soleil ... fascinant, oui !

Lutin