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lundi 17 août 2009

Débranché

On a beau se dire branché, quand on monte sur son petit bateau pour aller sur l’eau, on se retrouve bien vite déconnecté du monde. Internet ne daigne plus redescendre de sa nébuleuse et même le téléphone ne peut sonner pratiquement qu’en vue de la côte. Ou alors, il faut y mettre des moyens de riches et se décider à dialoguer directement avec le ciel et ses satellites.

Une semaine en mer demande donc de la préparation sur ce plan là aussi. La batterie du téléphone doit être bien chargée, au cas où l’indicateur de réception permettrait d’envisager l’écoute des messages laissés sur le répondeur par des correspondants plus ou moins incrédules devant une aussi longue attente. Et puis, côté web, les contributions aux blogs et les petits billets quotidiens doivent sembler suivre leur cours en les postant pré-datés. Et ça, c’est du travail ! Autant il est concevable qu’une idée quotidienne puisse éclore d’un cerveau normal pour s’installer sur le web, autant il paraît insurmontable d’en aligner sept le même jour. On sent bien que les limites du cerveau normal sont atteintes ...

Finalement, la déconnexion, ça se mérite. Sans doute parce qu’elle est indispensable à un temps de néo-reconnexion au monde, ou plutôt de connexion à un monde qui n’a plus rien à voir avec la virtualité de Windows, le clinquant de Facebook ou la boulimie de Google, le monde tel qu’il était et qu’il reste derrière les écrans informatico-réticulaires. Non ?

Une brève au hasard :

vendredi 12 octobre 2007

Écolo-manie

Pièges de l’écolo-manie encore et toujours : si les deux roues motorisés mettent en moyenne deux fois moins de temps que les voitures pour aller d’un point à un autre pendant les heures de pointe dans les grandes villes et polluent donc pendant une durée deux fois moindre, ils polluent pratiquement dix fois plus pendant le même temps de fonctionnement et donc cinq fois plus sur le même trajet. Vive le deux roues, donc, mais sans moteur ...